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Félicitations à Martin Saint-Louis qui vient d'atteindre le plateau des 1 000 points en carrière dans la LNH. Saint-Louis devient le 81e joueur de l'histoire à atteindre ce plateau. Très bel exploit par Saint-Louis qui n'a pas été repêché par une équipe de la LNH ; Calgary l'avait embauché à titre de joueur autonome en février 1998 alors qu'il évoluait avec Cleveland de la défunte Ligue internationale. Saint-Louis avait auparavant connu une brillante carrière universitaire avec l'université du Vermont. Photo: courtoisie www.legendsofhockey.net DICTIONNAIRE DES SPORTS DU QUÉBEC http://www.explorare.net/dictionnaire/hockey/saint-louis-martin SAINT-LOUIS, MARTIN - HOCKEY Né le 18 juin 1975 à Laval. Discipline : hockey. Position : ailier droit. Taille  : 5'8" / 1,73 m Poids  : 180 livres / 82,0 kg Lance  : gauche Repêchage LNH  : embauché comme joueur autonome par Calgary (19 février 1998) Joueur évoluant dans la  LNH  avec les Rangers...

Simon Gagné et Claude Giroux Saviez-vous qu'en 1998, les Flyers de Philadelphie ont repêché Simon Gagné (Remparts de Québec) au 22e rang du repêchage de la LNH? Et qu'en 2006, ces mêmes Flyers mettaient la main sur Claude Giroux (Olympiques de Gatineau) également au 22e rang du repêchage. Ironiquement, ces deux joueurs auraient pu appartenir aux Canadiens puisque Montréal choisissait avant Philadelphie à chaque fois. En 1998, Montréal a profité de sa sélection au 16e rang pour prendre Éric Chouinard . Et en 2006, Montréal avait la 20e sélection et a jeté son dévolu sur un défenseur du nom de David Fischer, qui n'a jamais joué dans la LNH et qui évolue maintenant en Allemagne.

On n’apprend rien en disant que les champions du Super Bowl obtiennent, saison après saison, des fiches gagnantes. Par contre, en divisant les dossiers de ces formations en tranches de quatre matchs (par quart de saison), on remarque des tendances. Contrairement à ce que l’on peut penser, les champions présentent, depuis 2005, un meilleur dossier en première moitié de saison qu’en deuxième moitié de campagne. Bon d’accord, souvent ces équipes sont assurées d’une place en séries éliminatoires et reposent leurs meilleurs éléments dans les derniers matchs (ce fut le cas des Colts en 2006 et des Saints en 2009), mais au cours des dernières années les futurs champions n’étaient pas sur de longues lancées amorcées en octobre ou novembre. Une autre tendance, depuis 2000, 11 formations championnes présentaient un dossier de 3 ou 4 victoires après 4 rencontres. Et à la mi-saison, encore une fois 11 équipes avaient amassé entre 6 et 8 gains. Dès le weekend prochain, on aura une b...